Quelqu'un a posé ce vieux portillon contre cet arbre. Je trouve cela tellement poétique. Après tous les passages que l'on peut imaginer...

La nappe est rouge. Le poisson nage. Voila.

Au départ les mains s'expriment. Trahissent un embarras. Quelque chose d'empêché. Puis le temps fait son travail. Il libère.

Au village il y a une maison qu'on ne voit que de dos ou de face. Devant ou derrière. Les côtés sont mangés par la végétation d'une part...